La plage est située à 5 kilomètres au sud du bourg de Sainte-Anne, la plage s’étire sur plus d’un kilomètre. La partie boisée du site fait partie de la Forêt domaniale du Littoral, issue des 50 pas Géométriques La largeur de cette zone boisée est de 83 mètres. De fait, cette partie est gérée par l’office National des forêts (ONF).
La plage se divise en trois parties : la grande anse des Salines, la partie la plus grande et la plus connue, la petite anse des Salines à l’ouest et enfin la grande terre des Salines à l’est.
Sainte Luce et ses plages de sable blanc, Anse Figuiers…Anse Mabouya. Sur 600m, sable blanc et eau turquoise se marient tranquillement à l’ombre des raisiniers et des cocotiers.
La commune de Saint-Luce est principalement composée de mornes qui permettent d’avoir de magnifiques panoramas des quartiers les plus élevés (l’Epinay, Bellevue Ladour, etc.). Des points les plus élevés de Sainte-Luce, il est possible d’observer La roche gravée (pétroglyphe) de la forêt de Montravail, de la commune de Sainte-Luce l’intégralité de la Martinique alors que le bourg est situé près du bord de mer.
On aime s’y balader pour déguster le Lambis et langoustes, nombreux petits restos y proposent, grillé.
La ville du sud non loin du Diamant. Tres agréable village rural de pécheur.
La première Chapelle fut dédiée à St Antoine de Padoue ; un baptême y fut célébré en 1671 par le père Simon. En 1673, cette chapelle fut remplacée par une Eglise. De grosses réparations ont été entreprises en 1687 par les soins financiers des « paroissiens » sous forme d’offrandes. Cette église fut détruite durant les années 1762 et 1763 par les Anglais qui incendièrent tout. Il fallut attendre quelques années pour que la population fut à même de reconstruire les maisons et de s’occuper des édifices religieux. L’église fut remise sur pied grâce au concours de Henri Larcher, riche habitant de la région. En témoignage de reconnaissance pour son bienfaiteur, elle fut placée sous le patronage de Saint Henri.
Jusqu’en 1676, il n’y avait pas de paroisse établie dans cette partie de l’île ; les services religieux étaient faits par des Prêtres de passage jésuites, capucins et religieux. C’est à partir de cette date qu’un d’entre eux fut chargé des Anses-d’Arlet et Du Diamant
Huit ans plus tard, les deux bourgs furent érigés en paroisses séparées mais continuèrent pendant de longues années à avoir un desservant commun qui résidait aux Anses. En vertu d’un décret publié le 12 juin 1837, le gouverneur du moment, Mackau, avec l’approbation du conseil, divisa la Martinique en vingt communes. C’est ainsi que fut créée la commune du Sud qui englobait les Anses-d’Arlet (où le maire résidait), le Diamant et Sainte Luce. Elle était administrée par un maire, trois adjoints et neuf membres du conseil de Sainte-Luce fut détachée en 1848 et le Diamant en 1862
Le clocher, symbole de la ville, avait été détruit par l’ouragan Dean en 2007, et il a été reconstruit à partir de juillet 2008 avec son apparence actuelle, imitant son aspect d’avant 1930
Le diamant, commune du sud de la Martinique, offre un cadre idyllique pour les amateurs d’activités nautiques, avec ses eaux cristallines propices à la plongée sous marine au Rocher du Diamant, à la voile et au kayak. En parallèle, elle conserve la mémoire de l’esclavage à travers des sites touristiques, mémorial Cap 110. La Maison du Bagnard, est l’œuvre artistique de Médard Aribot, case pittoresque, située dans un site exceptionnel, est un lieu de mémoire populaire. Le marché tropical, vibrant de couleurs et de saveurs locales, invite les visiteurs à découvrir l’authenticité de la culture martiniquaise